17/01/2015: « la galette »
Comme chaque année, «la galette» a réuni une bonne partie de la population du village dans la salle polyvalente, samedi 17 janvier.
Ce moment festif a débuté avec les voeux du maire qui nous a d’abord appris qu’il a fallu attendre un édit de Charles IX de 1567 pour que le Nouvel An coïncide avec le 1er janvier, le mois du dieu Janus, dans le royaume de France. Le mois de janvier marquait le commencement de l’année dans le calendrier romain. Les Romains s’offraient des dattes, des figues, du miel… espérant que la douceur et la saveur de ces présents présageraient d’une année heureuse et sans amertume.
Le maire a profité de ces voeux à la population pour donner des informations sur les activités municipales. Il a rappelé que le mur de la rue Montlaville connaît enfin, après dix années de négociations avec le Conseil Général, un dénouement heureux puisqu’il ne coûtera pas un centime à la commune. Notre maire a ensuite parlé des différentes actions menées par les commissions intercommunales au sein de la Communauté de Communes du Pays de Valois et de l’obligation de la commune d’élaborer un Plan Local d’Urbanisme. Il a rappelé la très bonne performance de notre Agence Postale Communale grâce aux bons soins de Marie-Catherine.
Il a ensuite demandé aux élus d’exposer, pour Philippe le projet de RPC (Regroupement Pédagogique Concentré) qui verra la construction, par étapes, d’un groupe scolaire sur l’emplacement de la «Cramif», pour Sylvianne la création et le fonctionnement du site internet Orrouy.fr grâce auquel vous pouvez lire ces lignes. La présidente d’«Automne villages» a ensuite présenté son association et invité tout le monde à participer à ses activités, en particulier à s’associer à la célébration du quinzième anniversaire qui aura lieu en 2015.
En place des dattes, des figues et du miel des Romains, nous avons alors dégusté une délicieuse galette des rois accompagnée d’un cidre goûteux et bien frais.
Les voeux du maire sont aussi allés à ceux dont la maladie et la douleur transforment le quotidien en calvaire, aux démunis qui n’ont que la fraternité pour réconfort, à nos anciens, parfois seuls et oubliés, auxquels on a le devoir familial, moral et social de donner un peu de chaleur, de réconfort, d’affection.
Pour finir il a cité cette pensée de Jean-Jacques Rousseau : «La jeunesse est le temps d’étudier la sagesse; la vieillesse est le temps de la pratiquer.»
Bonne année 2015 !!